Doctor Pickup (GB/FR)
12 & 13 novembre
Depuis une vingtaine d’années, le Doctor Pickup Blues Band prescrit son blues énergétique comme thérapie. Comparé au répertoire de ce blues band, le ‘Guide Vidal’ ferait presque figure de livre de poche.
Fondateur du groupe, Bruce ‘Stringkiller’, guitariste et chanteur, retourne chaque année aux USA partager la scène des festivals avec les plus grands bluesmen américains. Un retour permanent aux sources qui lui permet d’entretenir une éternelle fraîcheur
Harmoniciste à 12 ans, bassiste à 16 ans, Zahir Aribi découvre le blues en jouant avec plusieurs groupes, puis il enchaine les concerts en France et à l’étranger avec différentes formations jouant aussi bien du raï que du kabile et d’autres musiques world, tout en restant à l’écoute de l’évolution du blues. En 2009 il rejoint Dr Pickup pour une nouvelle aventure en trio
On sait à quelle heure débute un concert du Dr Pickup, mais rarement à quelle heure il se termine ! Le Pitchtime en fait l’expérience ce soir, pour le plus grand bonheur de tous.
Set après set, le bon docteur nous soigne de son blues festif et dynamique. Les compositions du groupe n’y vont pas par quatre chemins et vous disent de face ce qu’il en est : ‘Texas Tbonewalk’, ‘Waiting Blues’, ‘Love Me Baby’, ‘The Wall Street Blues’, ‘Rueil Riverside’, ‘Watch Our Woman’, ‘James Bond is on TV again’, et bien d’autres encore.
Le groupe rend également hommage aux plus grands noms du blues en revisitant les standards de Howling Wolf, Little Walter, Muddy Waters, Buddy Guy, T-Bone Walker, B.B. King, Peter Green, Taj Mahal, Hubert Sumlin, Albert King, Big Bill Bronzy et Big Joe Turner, sans vous les citer tous… Et ‘revisité’ est bien le terme à employer lorsque Bruce Stringkiller interprète les titres de ces icônes du blues, accompagné de sa ‘Les Paul Reed Smith’.
Avec son fort accent ‘outre Manche’ ou ‘outre Atlantique’ (on ne sait plus, tant l’homme a voyagé !), Bruce nous glisse quelques anecdotes entre chaque morceau et dédie les différents titres interprétés à des personnes présentes dans la salle. A des personnes qu’il connait ou qu’il ne connait pas, peu importe, car le courant passe et la communion avec le public est totale. Alain Beton
Fondateur du groupe, Bruce ‘Stringkiller’, guitariste et chanteur, retourne chaque année aux USA partager la scène des festivals avec les plus grands bluesmen américains. Un retour permanent aux sources qui lui permet d’entretenir une éternelle fraîcheur
Harmoniciste à 12 ans, bassiste à 16 ans, Zahir Aribi découvre le blues en jouant avec plusieurs groupes, puis il enchaine les concerts en France et à l’étranger avec différentes formations jouant aussi bien du raï que du kabile et d’autres musiques world, tout en restant à l’écoute de l’évolution du blues. En 2009 il rejoint Dr Pickup pour une nouvelle aventure en trio
On sait à quelle heure débute un concert du Dr Pickup, mais rarement à quelle heure il se termine ! Le Pitchtime en fait l’expérience ce soir, pour le plus grand bonheur de tous.
Set après set, le bon docteur nous soigne de son blues festif et dynamique. Les compositions du groupe n’y vont pas par quatre chemins et vous disent de face ce qu’il en est : ‘Texas Tbonewalk’, ‘Waiting Blues’, ‘Love Me Baby’, ‘The Wall Street Blues’, ‘Rueil Riverside’, ‘Watch Our Woman’, ‘James Bond is on TV again’, et bien d’autres encore.
Le groupe rend également hommage aux plus grands noms du blues en revisitant les standards de Howling Wolf, Little Walter, Muddy Waters, Buddy Guy, T-Bone Walker, B.B. King, Peter Green, Taj Mahal, Hubert Sumlin, Albert King, Big Bill Bronzy et Big Joe Turner, sans vous les citer tous… Et ‘revisité’ est bien le terme à employer lorsque Bruce Stringkiller interprète les titres de ces icônes du blues, accompagné de sa ‘Les Paul Reed Smith’.
Avec son fort accent ‘outre Manche’ ou ‘outre Atlantique’ (on ne sait plus, tant l’homme a voyagé !), Bruce nous glisse quelques anecdotes entre chaque morceau et dédie les différents titres interprétés à des personnes présentes dans la salle. A des personnes qu’il connait ou qu’il ne connait pas, peu importe, car le courant passe et la communion avec le public est totale. Alain Beton